"Morte ??" demanda Retsu.
Il se tourna vers Yasuki Taka.
"Yasuki-sama... Pour votre sécurité, nous allons vous ramener immédiatement au palais."
Se tournant vers son nikutai, Retsu poursuivit :
"Restez ici et assurez-vous que personne ne touche à quoi que ce soit. Nous contactons la Garde Grise dès notre arrivée au palais."
La fuite (peut-on appeler ça une retraite ?) se déroula à travers une foule hilare qui s'écarta comme la mer devant la puissance et la colère. ils parvinrent par ce chemin de crainte aux portes du château, qu'ils trouvèrent scellées.
- Seigneur, leur annonça un garde aux armes du Conseil, des assassins sont entrés dans le château, et la Garde les traque. Il semblerait que des membres du Conseil soient tombés.
- Seigneur, leur annonça un garde aux armes du Conseil, des assassins sont entrés dans le château, et la Garde les traque. Il semblerait que des membres du Conseil soient tombés.
Oh non... songea Retsu.
"Le Sunda Mizu Ryu !! Nous allons amener Yasuki-sama là-bas."
Se tournant vers le garde du conseil :
"Dame Minako a été assassinée au Temple d'Amaterasu. Il faudra envoyer une escouade de la Garde Grise là-bas... En attendant je vous demande de me confier des gardes du conseil pour assurer la protection de Yasuki-sama."
J'ai mis le SMR car je pense que pour Retsu c'est le meilleur endroit : facile à défendre, sans membre du conseil donc peut-être épargné... Après il connait mieux la ville que moi...
"Le Sunda Mizu Ryu !! Nous allons amener Yasuki-sama là-bas."
Se tournant vers le garde du conseil :
"Dame Minako a été assassinée au Temple d'Amaterasu. Il faudra envoyer une escouade de la Garde Grise là-bas... En attendant je vous demande de me confier des gardes du conseil pour assurer la protection de Yasuki-sama."
J'ai mis le SMR car je pense que pour Retsu c'est le meilleur endroit : facile à défendre, sans membre du conseil donc peut-être épargné... Après il connait mieux la ville que moi...
"Hai, Yasuki-sama..."
"En tant que responsable de votre sécurité, il est de mon devoir de vous avertir que cette décision peut sérieusement mettre votre vie en danger, Ue-sama... Mais en tant qu'homme, je ne peux que saluer votre attachement pour votre épouse..."
Se tournant vers ses hommes il poursuivit :
"Vous avez entendu Yasuki-sama ?? Nous allons chercher Yasuki-gozen !" fit-il en tirant son sabre de son saya.
"En tant que responsable de votre sécurité, il est de mon devoir de vous avertir que cette décision peut sérieusement mettre votre vie en danger, Ue-sama... Mais en tant qu'homme, je ne peux que saluer votre attachement pour votre épouse..."
Se tournant vers ses hommes il poursuivit :
"Vous avez entendu Yasuki-sama ?? Nous allons chercher Yasuki-gozen !" fit-il en tirant son sabre de son saya.
La situation était chaotique. Rets monta seul, bravant les flèches perdues, les files de gardes courant follement dans les escaliers, le désordre des portes tantôt fermées, tantôt ouvertes, et les étincelles partout. La seul chose positive qu'il remarqua fut que, bien que le vent agitât les branches dans les parcs de la ville, les flammèche tombaient verticalement dans le château, et les bannières restaient droites, comme si l'air avait été arrêté.
Peut-être était-ce le cas. Il sentait une ambiance poisseuse, comme s'il se mouvait dans l'eau.
Quand il entra dans le honmaru central, les bâtiments abritant le Conseil brûlaient sans bruit, sans crachat, sans exhalaison de flammes. Simplement, le bois se transformait en cendres et découvrait la pierre. Des pièces de bois étaient fichées dans les murs, horizontalement, de grande pièces de bois d'un mètre ; le donjon était éventré, comme coupé en deux par une hache immense qui aurait tourné dans une blessure sanglante.
Le passage menant au jardin réservé était roussi, vitrifié ; les marches ne craquaient même plus, enfoncées et réduite à l'épaisseur d'un cheveu dans leur structure de pierre.
Le jardin était saccagé par les cadavres, de gardes et d'hommes en noir ; quelques bushi se relevèrent quand il entra dans le pavillon, et le regardèrent.
- Retsu-san, où est le daimyo ? demanda Ishiotoshi, couvert de sang.
Peut-être était-ce le cas. Il sentait une ambiance poisseuse, comme s'il se mouvait dans l'eau.
Quand il entra dans le honmaru central, les bâtiments abritant le Conseil brûlaient sans bruit, sans crachat, sans exhalaison de flammes. Simplement, le bois se transformait en cendres et découvrait la pierre. Des pièces de bois étaient fichées dans les murs, horizontalement, de grande pièces de bois d'un mètre ; le donjon était éventré, comme coupé en deux par une hache immense qui aurait tourné dans une blessure sanglante.
Le passage menant au jardin réservé était roussi, vitrifié ; les marches ne craquaient même plus, enfoncées et réduite à l'épaisseur d'un cheveu dans leur structure de pierre.
Le jardin était saccagé par les cadavres, de gardes et d'hommes en noir ; quelques bushi se relevèrent quand il entra dans le pavillon, et le regardèrent.
- Retsu-san, où est le daimyo ? demanda Ishiotoshi, couvert de sang.
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