J'ai revu Mononoke Princess à l'hôtel hier soir, on a beau dire ce que l'on veut, ce film est une tuerie !!!
Il est incroyable, autant visuellement que dans la narration de son histoire
Quel bijou, si des Shriek pourrait atteindre le 1/10éme de cette qualité j'en serai ravi
BEn
Hitler, qui était beaucoup plus petit que Mannerheim (Mannerheim mesurait plus de 1,90 m), portait des talonnettes et avait demandé à ses photographes de trouver un angle favorable pour la photo officielle.
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Hahaha très bon
La première fois qu il regarde sa montre son expression elle est mortelle.
Le coté jeu video on le ressent très vite pendant le combat, chapeau.
Y a peut etre quelques moment ou c'est un peu long mais c'est vraiment du détail, de l'ordre de la seconde voir de la demi seconde en trop (ptet un peu plus une fois que le mec se prend la tarte de la miss).
Enfin treve de chipotage, je suis fan, y a de super bons trucs, ça fait plaisir à voir.
Bravo au réa, aux acteurs (le type à la télé il m'a bien fait marrer) et vivement la suite.

La première fois qu il regarde sa montre son expression elle est mortelle.
Le coté jeu video on le ressent très vite pendant le combat, chapeau.
Y a peut etre quelques moment ou c'est un peu long mais c'est vraiment du détail, de l'ordre de la seconde voir de la demi seconde en trop (ptet un peu plus une fois que le mec se prend la tarte de la miss).
Enfin treve de chipotage, je suis fan, y a de super bons trucs, ça fait plaisir à voir.
Bravo au réa, aux acteurs (le type à la télé il m'a bien fait marrer) et vivement la suite.
"Je suis un gentil, j'ai que des amis et plus d'ennemis
"
Je suis en train de télécharger le film et je me demandais pourquoi vous n'utilisez pas rapidshare plutôt (même type de service il me semble mais pas de temps d'attente ou autre truc de ce genre...)

"Les impôts sont le prix à payer pour une société civilisée. Trop de citoyens veulent la civilisation au rabais" - Henry Morgenthau, remettant son rapport sur l'utilisation abusive des paradis fiscaux par les contribuables au président Roosevelt en 1937.
Aucune idée, je m'occupe pas de la partie informatique vu la quille que je suis.
Hitler, qui était beaucoup plus petit que Mannerheim (Mannerheim mesurait plus de 1,90 m), portait des talonnettes et avait demandé à ses photographes de trouver un angle favorable pour la photo officielle.
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oui
je me souviens pas que ça m'ait donné une vision plus sympa du film
la version standard me plaisait mieux, mais la dernière fois que j'ai dit ça à quelqu'un, on m'a traité de crétin primaire

je me souviens pas que ça m'ait donné une vision plus sympa du film
la version standard me plaisait mieux, mais la dernière fois que j'ai dit ça à quelqu'un, on m'a traité de crétin primaire
Perso, je m'y perd un peu entre toutes ces versions de Blade Runner.
Hitler, qui était beaucoup plus petit que Mannerheim (Mannerheim mesurait plus de 1,90 m), portait des talonnettes et avait demandé à ses photographes de trouver un angle favorable pour la photo officielle.
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Attention, je parle de la version qui a moins d'un an nouvellements sorti ;-)Pénombre a écrit :oui
je me souviens pas que ça m'ait donné une vision plus sympa du film
la version standard me plaisait mieux, mais la dernière fois que j'ai dit ça à quelqu'un, on m'a traité de crétin primaire
Sinon pour les films de Varock ils sont tous les deux pas mal par contre, Grégory Sacré devrait arrêter de faire trop de mimiques avec sa langue et sa tête.
Pourquoi vous faîtes certaines de vos prod en anglais ? (Totem Carnage, the Game de la Death)
BEn
Un esprit aiguisé est la plus puissante de toutes les armes
Parce qu'ils sont ainsi téléchargés aussi par des anglosaxons.
Hitler, qui était beaucoup plus petit que Mannerheim (Mannerheim mesurait plus de 1,90 m), portait des talonnettes et avait demandé à ses photographes de trouver un angle favorable pour la photo officielle.
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Si mes souvenirs sont exacts il y en a 8...Ding On a écrit :Perso, je m'y perd un peu entre toutes ces versions de Blade Runner.
Une version Cinéma initial, tronquée avec une fin ajoutée sans aucun rapport avec la choucroute (montazgne verte, fin optimiste, lumière du jour), et une voix off qui explique tout.
Une seconde version cinéma remontée par Ridley Scott, sans la voix off, avec quelques scènes en plus et une fin qui est plus en corrélation avec le film.
Différents montages qui n'ont pas nécessairement vu le jour pour des questions de droits.
The only way to keep a secret is to tell the truth, but not the whole truth


Ben Franklin : "They that can give up essential liberty to obtain a little temporary safety deserve neither liberty nor safety."


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"Les impôts sont le prix à payer pour une société civilisée. Trop de citoyens veulent la civilisation au rabais" - Henry Morgenthau, remettant son rapport sur l'utilisation abusive des paradis fiscaux par les contribuables au président Roosevelt en 1937.
ça va sans doute sembler idiot mais j'ai grandi sur la version cinoche (oui, celle avec la fin "optimiste", la voix off et le paysage de verdure) et pour moi, c'est cette version là, Blade Runner.
malgré les histoires de bottes, d'impacts de balles et autres trucs qui doivent certainement avoir de l'importance pour ceux qui aiment un film techniquement bien réalisé (ou pas trop massacré dirons les puristes)
malgré la version sans voix off et avec une fin plus ambigue, qui doit certainement avoir de l'importance pour ceux qui voudraient que le film corresponde un peu plus à l'esprit du roman de Dick (moi pas, malgré un certain nombre de livres de lui que j'aime bien, il n'est pas membre de mon panthéon des demi-dieux littéraires de toute manière)
moi, j'aimais bien ce film ou il y a de jolies paraboles humanistes sans prétention que j'ai pu avaler comme ado, gentiment expliquées par une voix off
je vous laisse bien volontier ce coffret
je pense que les versions diverses auraient peut-être eu tout leur intéret à l'époque de la sortie du film, mais pas une génération plus tard à moins d'être un inconditionnel, après qu'on se soit fadé sous forme de jeux vidéo, de comics, de films, de séries, de romans et de jeux de rôle les 12 millions de variations sur le thème dark future/cyberpunk.
malgré les histoires de bottes, d'impacts de balles et autres trucs qui doivent certainement avoir de l'importance pour ceux qui aiment un film techniquement bien réalisé (ou pas trop massacré dirons les puristes)
malgré la version sans voix off et avec une fin plus ambigue, qui doit certainement avoir de l'importance pour ceux qui voudraient que le film corresponde un peu plus à l'esprit du roman de Dick (moi pas, malgré un certain nombre de livres de lui que j'aime bien, il n'est pas membre de mon panthéon des demi-dieux littéraires de toute manière)
moi, j'aimais bien ce film ou il y a de jolies paraboles humanistes sans prétention que j'ai pu avaler comme ado, gentiment expliquées par une voix off
je vous laisse bien volontier ce coffret
je pense que les versions diverses auraient peut-être eu tout leur intéret à l'époque de la sortie du film, mais pas une génération plus tard à moins d'être un inconditionnel, après qu'on se soit fadé sous forme de jeux vidéo, de comics, de films, de séries, de romans et de jeux de rôle les 12 millions de variations sur le thème dark future/cyberpunk.
En fait, Blade Runner n'a pas eu de succès lors de sa sortie en salle, mais a acquis un statuit de film culte avec la diffusion video. Ce qui a permis à Scott de remonter (avec le matériaux disponible à l'époque) le film pour les 10 ans (1992) et une resortie en salle.
Le truc c''est que la fin "happy end" du premier montage est en totale contradiction avec le film. Le film se passe de nuit, en ville, sous la pluie, dans un univers pollué et dans une ambiance sombre et désepéré, sauf les quelques dernières minutes ou on est en plein air, de jour, dans la verdure et les grands espace avec une vision très optimiste.
Sans être aussi pointu que Ding On sur le cinéma, il y a là une dichotomie qui, pour moi, ruine la fin du film.

Le truc c''est que la fin "happy end" du premier montage est en totale contradiction avec le film. Le film se passe de nuit, en ville, sous la pluie, dans un univers pollué et dans une ambiance sombre et désepéré, sauf les quelques dernières minutes ou on est en plein air, de jour, dans la verdure et les grands espace avec une vision très optimiste.
Sans être aussi pointu que Ding On sur le cinéma, il y a là une dichotomie qui, pour moi, ruine la fin du film.
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