La Brabançonne. Ca commence par "Noble Belgique, à jamais terre chérie..." mais je n'ai jamais réussi à aller plus loin sans pouffer de rire, ce qui est mal vu quand on chante un hymne national.
In wartime, truth is so precious that she should always be attended by a bodyguard of lies.
Winston Churchill
Winston Churchill
t'inquietes deja tu sais son nom et meme quelques paroles, c'est mieux que 98% de tes compatriotes a en croire un sondage d'il y a une ou deux semaines (lors de l'episode avec votre futur premier sinistre)
Moto Shikizu
White Guard - Emerald Magistrate
--------------
Hito wa ichidai, na wa matsudai
---------------------------------------
Nagareru namida wa mou karehate
chi ni ueta kodoku
shi wa tenshi no nikoge no
nioi wo sasete mau
White Guard - Emerald Magistrate
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Hito wa ichidai, na wa matsudai
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Nagareru namida wa mou karehate
chi ni ueta kodoku
shi wa tenshi no nikoge no
nioi wo sasete mau
C'est quoi le rapport avec le cinéma ?Ding On a écrit :Tu travailles plus pour gagner plus (ou pas) : sois fier d'être un membre actif de la société et pas un de ces parasites feignants qui plombent la dette en achetant du shit sur les comptes de la Sécu.
je vais arriver à croire que ce forum est uniquement rempli de gauchos
BEn
Un esprit aiguisé est la plus puissante de toutes les armes
Ben oui, ça fait longtemps qu'on sait que la Voix est un forum bien fréquenté.je vais arriver à croire que ce forum est uniquement rempli de gauchos
Hitler, qui était beaucoup plus petit que Mannerheim (Mannerheim mesurait plus de 1,90 m), portait des talonnettes et avait demandé à ses photographes de trouver un angle favorable pour la photo officielle.
Mon blog
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C'est "Mr.Flibble" d'abord :p
(nondidjou ça fait plus de 5 ans que je suis sur ce forum quand même !)
Moi je dirais va le voir :D
Sinon si tu veux pas payer un ticket de cinéma, y'a youtube :
***ATTENTION HAUTEMENT SPOILER***
1ère rencontre de notre jeune héros avec des transformers
http://www.youtube.com/watch?v=TWj8-EvA ... ed&search=
Arrivée des autobots
http://www.youtube.com/watch?v=0qa8LWyhhwQ
Passage comique avec le jeune héros et les transformers
http://www.youtube.com/watch?v=j7LHP4e3a78
baston sur l'autoroute
http://www.youtube.com/watch?v=1u34DO3r ... ed&search=
baston dans la ville
http://www.youtube.com/watch?v=aE-AO2nJrcg
Voilà sinon il paraît qu'il ya un scénario pour lier ces scènes
(mais sur grand écran c'est quand même mieux ^^
(nondidjou ça fait plus de 5 ans que je suis sur ce forum quand même !)
Moi je dirais va le voir :D
Sinon si tu veux pas payer un ticket de cinéma, y'a youtube :
***ATTENTION HAUTEMENT SPOILER***
1ère rencontre de notre jeune héros avec des transformers
http://www.youtube.com/watch?v=TWj8-EvA ... ed&search=
Arrivée des autobots
http://www.youtube.com/watch?v=0qa8LWyhhwQ
Passage comique avec le jeune héros et les transformers
http://www.youtube.com/watch?v=j7LHP4e3a78
baston sur l'autoroute
http://www.youtube.com/watch?v=1u34DO3r ... ed&search=
baston dans la ville
http://www.youtube.com/watch?v=aE-AO2nJrcg
Voilà sinon il paraît qu'il ya un scénario pour lier ces scènes
(mais sur grand écran c'est quand même mieux ^^
- Moi, je dis qu'on a la belle vie. D'accord, on pourrait être plus cultivés, plus à l'écoute des autres et moins superficiels... mais c'est cette superficialité qui nous rend heureux. Cette superficialité, c'est le vrai luxe, c'est le droit au bonheur.
Nous sommes les milliardaires du bonheur car nous sommes plus heureux que ne le seront jamais tous les magnats du pognon.
- Tu dis ça parce que tu le penses ou c'est pour nous déconcentrer ?
- Pour vous déconcentrer...
Nous sommes les milliardaires du bonheur car nous sommes plus heureux que ne le seront jamais tous les magnats du pognon.
- Tu dis ça parce que tu le penses ou c'est pour nous déconcentrer ?
- Pour vous déconcentrer...
Motel :
La vraie bonne surprise de l'été.
Un jeune couple en phase de divorce se retrouve piégé dans un motel louche après être tombé en panne sur la route : un canevas on ne peut plus classique, mais que le réalisateur va mettre à profit à fond, le pousser dans ses derniers retranchements pour livrer un modèle d'efficacité filmique, une oeuvre prenante de bout en bout.
L'alchimie qui permet à ce film de sortir du tout-venant des survival modernes tient finalement à peu de choses : un couple auquel on croit (Luke Wilson, particulièrement bien vu dans le rôle du mari un peu dépassé mais qui se débalonne pas), un huis-clos bien géré (la géographie limitée du motel est très mieux exploitée et mise à profit), une unité de temps et de lieu qui, couplé à une durée courte, permet de maintenir un rythme haletant.
Passée une introduction permettant de faire connaissance avec les protagonistes (rien que du classique encore une fois : un couple détruit par la mort de leur enfant ; ça mange pas de pain mais c'est sobrement expliqué sans en faire trop), la tension s'installe et n'arrête jamais de grimper au point que lorsque le mot fin apparait, on a les doigts encore incrustés dans le siège (aucun épilogue permettant d'évacuer : un choix rare et osé). Enfermement, révélations, lutte pied à pied, fuite, poursuite, scènes chocs : le réalisateur sait parfaitement gérer la situation et dose les décharges d'adrénaline de main de maître. L'absence de gore est également un atout : le film mise plus sur l'ambiance que sur les effets tripaille faciles ; la claustrophobie et la peur de l'inconnu, de l'invisible, sont efficaces à ce titre (très bonne gestion des hors-champs notamment et du son).
Les réactions des personnages sont pour une fois très bien vues. C'est bien la première fois dans un survival que je n'ai pas envie de baffer les héros à cause de leur stupidité. Au contraire même, j'ai trouvé que chaque décision était crédible, prenant en compte ce que les personnages savaient ou ignoraient de leur situation (le coup du camionneur et du flic par exemple) : une sacrée qualité dans ce genre de film où bien souvent les protagonistes font à peu près n'importe quoi (l'excuse de la peur panique n'excusant pas tout).
La mise en scène constitue également un point fort du film. Doté d'une photographie somptueuse (tout se passe de nuit mais reste parfaitement lisible malgré l'obscurité et l'éclairage pâle des enseignes ou lampadaires), la réalisation joue à fond sur le côté huis-clos, décor minimaliste dans lequel les personnages sont enfermés (les cadres sont très bien travaillés en ce sens, jouant énormément sur le fait que des caméras observent chaque partie du motel) et un montage au millimètre assure son quota de sursauts nerveux.
Plein de qualités, ce petit survival mérite réellement qu'on lui donne sa chance en cette période dominée par les blockbusters faisandés.
La vraie bonne surprise de l'été.
Un jeune couple en phase de divorce se retrouve piégé dans un motel louche après être tombé en panne sur la route : un canevas on ne peut plus classique, mais que le réalisateur va mettre à profit à fond, le pousser dans ses derniers retranchements pour livrer un modèle d'efficacité filmique, une oeuvre prenante de bout en bout.
L'alchimie qui permet à ce film de sortir du tout-venant des survival modernes tient finalement à peu de choses : un couple auquel on croit (Luke Wilson, particulièrement bien vu dans le rôle du mari un peu dépassé mais qui se débalonne pas), un huis-clos bien géré (la géographie limitée du motel est très mieux exploitée et mise à profit), une unité de temps et de lieu qui, couplé à une durée courte, permet de maintenir un rythme haletant.
Passée une introduction permettant de faire connaissance avec les protagonistes (rien que du classique encore une fois : un couple détruit par la mort de leur enfant ; ça mange pas de pain mais c'est sobrement expliqué sans en faire trop), la tension s'installe et n'arrête jamais de grimper au point que lorsque le mot fin apparait, on a les doigts encore incrustés dans le siège (aucun épilogue permettant d'évacuer : un choix rare et osé). Enfermement, révélations, lutte pied à pied, fuite, poursuite, scènes chocs : le réalisateur sait parfaitement gérer la situation et dose les décharges d'adrénaline de main de maître. L'absence de gore est également un atout : le film mise plus sur l'ambiance que sur les effets tripaille faciles ; la claustrophobie et la peur de l'inconnu, de l'invisible, sont efficaces à ce titre (très bonne gestion des hors-champs notamment et du son).
Les réactions des personnages sont pour une fois très bien vues. C'est bien la première fois dans un survival que je n'ai pas envie de baffer les héros à cause de leur stupidité. Au contraire même, j'ai trouvé que chaque décision était crédible, prenant en compte ce que les personnages savaient ou ignoraient de leur situation (le coup du camionneur et du flic par exemple) : une sacrée qualité dans ce genre de film où bien souvent les protagonistes font à peu près n'importe quoi (l'excuse de la peur panique n'excusant pas tout).
La mise en scène constitue également un point fort du film. Doté d'une photographie somptueuse (tout se passe de nuit mais reste parfaitement lisible malgré l'obscurité et l'éclairage pâle des enseignes ou lampadaires), la réalisation joue à fond sur le côté huis-clos, décor minimaliste dans lequel les personnages sont enfermés (les cadres sont très bien travaillés en ce sens, jouant énormément sur le fait que des caméras observent chaque partie du motel) et un montage au millimètre assure son quota de sursauts nerveux.
Plein de qualités, ce petit survival mérite réellement qu'on lui donne sa chance en cette période dominée par les blockbusters faisandés.
Hitler, qui était beaucoup plus petit que Mannerheim (Mannerheim mesurait plus de 1,90 m), portait des talonnettes et avait demandé à ses photographes de trouver un angle favorable pour la photo officielle.
Mon blog
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Oui il est encore à l'affiche mais sans doute plus pour très longtemps (les 4 Nazes et le Surfeur d'Argenteuil vont tout truster).
Hitler, qui était beaucoup plus petit que Mannerheim (Mannerheim mesurait plus de 1,90 m), portait des talonnettes et avait demandé à ses photographes de trouver un angle favorable pour la photo officielle.
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Hitler, qui était beaucoup plus petit que Mannerheim (Mannerheim mesurait plus de 1,90 m), portait des talonnettes et avait demandé à ses photographes de trouver un angle favorable pour la photo officielle.
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c'est quoi un épisode de la série ou un film ?
Un esprit aiguisé est la plus puissante de toutes les armes
Un film en direct to vidéo.
Hitler, qui était beaucoup plus petit que Mannerheim (Mannerheim mesurait plus de 1,90 m), portait des talonnettes et avait demandé à ses photographes de trouver un angle favorable pour la photo officielle.
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