Hirozaku se releva alors d'un bon une fois qu'il eu comprit que la situation semblait s'aggraver.
"Ca commence à sentir mauvais ..."
Un homme, assez grand, entra dans le couloir des cellules. Un homme ? il semblait un morceau de rocher détaché des montagnes. Ses sourcils ressemblaient aux cornes ornant un casque de guerre, hormis leur couleur blanche ; son crâne lisse évoquait un rocher battu par la mer. Sa carrure... sa carrure aurait fait pâlir un boeuf.
- Faîtes-moi sortir ces gamins. Nous les prenons en charge.
- A vos ordres, sensei.
Hikuchi ouvrit la cellule sans se faire prier.
- Dehors, tous les trois. Pas de simagrées.
Bizarrement, le conseil semblait inutile. Les trois vauriens se faisaient tout petits.
L'homme, sans un regard, tourna les talons tandis que Hikuchi refermait la cellule, et commença à partir.
- Faîtes-moi sortir ces gamins. Nous les prenons en charge.
- A vos ordres, sensei.
Hikuchi ouvrit la cellule sans se faire prier.
- Dehors, tous les trois. Pas de simagrées.
Bizarrement, le conseil semblait inutile. Les trois vauriens se faisaient tout petits.
L'homme, sans un regard, tourna les talons tandis que Hikuchi refermait la cellule, et commença à partir.
HIrozaku s'approcha alors de la porte, qu'il vit d'ailleurs se refermer avant son passage ...
" Euh, excusez moi .." dit il avec la voie si innocente qui le caractérisé lorsqu'il allait faire une bêtise .
" Il me semble faire parti des gamins que vous étiez censé libérer .. non?"
" Euh, excusez moi .." dit il avec la voie si innocente qui le caractérisé lorsqu'il allait faire une bêtise .
" Il me semble faire parti des gamins que vous étiez censé libérer .. non?"
Alors, c'est pendant la seconde guerre mondiale ...
Hirozaku se jeta alors sur le sol de sa cellule.
"Je suis Yasuki Hirozaku, samurai-sama. "
Une grosse goutte de sueur perlait sur le front du jeune bushi alors qu'il dit ses quelques mots à la montagne de muscle qui lui faisait face... Il se senti presque rassuré de savoir que les barreaux lui offrait en cet instant un léger rempart contre la brutalité dont pouvait faire preuve l'homme qu'il venait de déranger.
" Je suis tombé malencontreusement sur les trois hommes que vous venez de libérer alors que je me devais d'apporter une importante missive à Kaiu-sama , à l'arsenal..."
Hirozaku avala alors sa salive, avec le petit "glup" qui caractérise si bien l'appréhension
"Je suis Yasuki Hirozaku, samurai-sama. "
Une grosse goutte de sueur perlait sur le front du jeune bushi alors qu'il dit ses quelques mots à la montagne de muscle qui lui faisait face... Il se senti presque rassuré de savoir que les barreaux lui offrait en cet instant un léger rempart contre la brutalité dont pouvait faire preuve l'homme qu'il venait de déranger.
" Je suis tombé malencontreusement sur les trois hommes que vous venez de libérer alors que je me devais d'apporter une importante missive à Kaiu-sama , à l'arsenal..."
Hirozaku avala alors sa salive, avec le petit "glup" qui caractérise si bien l'appréhension
Alors, c'est pendant la seconde guerre mondiale ...
Yasuki Hirozaku était resté incliné, même s’il leva la tête de temps en autre en direction du garde pour lui jeter un petit regard sournois.
« J’aurai aimé attester les dire du garde, mais j’avais bien plus important à faire que de me battre contre trois jeunes gens. Non Hida-sama, ce que je faisais , moi, c’était justement éviter un combat inutile dans les rue de la cité . Surtout que j’avais des choses bien plus importante comme … » Hirozaku se reteint comme il pu de sourire ranger mes kimonos.
Il se reprit alors
« J’avais une missive à apporter à Kaiu-sama à l’arsenal. Mais j’ai été interrompu dans mon devoir par les trois hommes que vous venez de libérer. Ils avaient semble t’il besoin d’action, et j’ai fait mon possible pour que cela ne dégénère pas … Je n’ai, semble t’il , pas réussi à éviter l’inévitable … »
« J’aurai aimé attester les dire du garde, mais j’avais bien plus important à faire que de me battre contre trois jeunes gens. Non Hida-sama, ce que je faisais , moi, c’était justement éviter un combat inutile dans les rue de la cité . Surtout que j’avais des choses bien plus importante comme … » Hirozaku se reteint comme il pu de sourire ranger mes kimonos.
Il se reprit alors
« J’avais une missive à apporter à Kaiu-sama à l’arsenal. Mais j’ai été interrompu dans mon devoir par les trois hommes que vous venez de libérer. Ils avaient semble t’il besoin d’action, et j’ai fait mon possible pour que cela ne dégénère pas … Je n’ai, semble t’il , pas réussi à éviter l’inévitable … »
Alors, c'est pendant la seconde guerre mondiale ...
" Je doute nullement de vos parole Hida-sama, mais il m'a expressément été demandé de donner la missive en mains propres à Kaiu-sama ... Vous comprendrais donc que je ne puis vous la remettre ..."
Alors, c'est pendant la seconde guerre mondiale ...
Hirozaku baissa la tête. Il commençait à être un habitué des boulettes, plus que des ramens et il pourra bientôt ouvrir un échoppe. Mais malgré tout, il tint bon.
" Hida-sama, vous pourriez être le gouverneur de la cité que je ne vous remettrez pas cette lettre. C'est mon devoir que de la remettre en mains propres, et ce que je ferai ..."
Mais dans quelle galère tu t'es encore fourré ...
" Hida-sama, vous pourriez être le gouverneur de la cité que je ne vous remettrez pas cette lettre. C'est mon devoir que de la remettre en mains propres, et ce que je ferai ..."
Mais dans quelle galère tu t'es encore fourré ...
Alors, c'est pendant la seconde guerre mondiale ...
Hirozaku se jeta alors aux pieds du sensei de Sunda Mizu Ryu
" Je vous remercie Hida-sama ... "
Et oubliant toute notion de protocole rajouta
" Je serai à vos côté pour déjeuner, je vous en remercie grandement"
Puis , se redressant, il jeta un regard moqueur au garde, avant de partir à toute jambe en direction de l'arsenal.
" Je vous remercie Hida-sama ... "
Et oubliant toute notion de protocole rajouta
" Je serai à vos côté pour déjeuner, je vous en remercie grandement"
Puis , se redressant, il jeta un regard moqueur au garde, avant de partir à toute jambe en direction de l'arsenal.
Alors, c'est pendant la seconde guerre mondiale ...
Qu'il trouva. il remit son mot, que le maître des arsenaux ouvrit, lut, et poussa une exclamation :
- Ah ça c'est la meilleure ! Connaissez-vous, jeune homme, Ikoma Juncho ? Non, bien sûr. C'est un vieil érudit du Clan du Lion avec lequel je suis en contact. Figurez-vous qu'il réponds à une plaisanterie que j'avais faite en la prenant au mot : il m'envoie son neveu ! Son neveu ! Mais qu'est-ce que je vais en faire, moi, de son neveu ? Allez, filez, ou alors... comment vous appelez-vous, déjà ? Hirozaku ? Ecoutez, Hirozaku, c'est un service que je vous demande. Est-ce que vous pourriez aller voir le vieux Sakamasu, au dojo de Sunda, et lui demander s'il pourrait prêter à mon futur pupille une chambre dans ses bâtiments ? je vous en saurai gré.
- Ah ça c'est la meilleure ! Connaissez-vous, jeune homme, Ikoma Juncho ? Non, bien sûr. C'est un vieil érudit du Clan du Lion avec lequel je suis en contact. Figurez-vous qu'il réponds à une plaisanterie que j'avais faite en la prenant au mot : il m'envoie son neveu ! Son neveu ! Mais qu'est-ce que je vais en faire, moi, de son neveu ? Allez, filez, ou alors... comment vous appelez-vous, déjà ? Hirozaku ? Ecoutez, Hirozaku, c'est un service que je vous demande. Est-ce que vous pourriez aller voir le vieux Sakamasu, au dojo de Sunda, et lui demander s'il pourrait prêter à mon futur pupille une chambre dans ses bâtiments ? je vous en saurai gré.
Cela ne cessera donc jamais ...
Hirozaku, agenouillé devant Kaiu-sama , inclina le front bien bas afin d'accepter sa requête.
"Je ferai mon possible Kaiu-sama pour présenter votre demande à Hida-sama ... Dès qu'il me sera possible de le rencontrer ..."
Hirozaku toussa alors légèrement
"Peut être pourrais je lui demander lors de mon déjeuner avec lui ce midi "
Hirozaku, agenouillé devant Kaiu-sama , inclina le front bien bas afin d'accepter sa requête.
"Je ferai mon possible Kaiu-sama pour présenter votre demande à Hida-sama ... Dès qu'il me sera possible de le rencontrer ..."
Hirozaku toussa alors légèrement
"Peut être pourrais je lui demander lors de mon déjeuner avec lui ce midi "
Alors, c'est pendant la seconde guerre mondiale ...
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