[2.9-YH-HKa] Retour aux havres gris

Hirozaku hocha alors la tête, se remis en place, et de sa main droite se gratta le menton .

« Vous dites que vous n’avez pas vu son visage … Cela voudrait il dire qu’il aurait été accueilli dans votre établissement par une tierce personne ? »

Hirozaku posa alors un regard interrogateur, lourd de soupçon, sur le propriétaire des lieux .

- Non, mais je vous dis que je n'ai pas vu cet homme entrer. Vous allez me ficher le camp, oui ? On travaille honnêtement ici ! Je reçois des filles, je les protège, et leurs affaires avec leurs clients me regardent pas.

HIrozaku fronça alors les sourcils

"Comment ça ? Vous voulez dire que les filles que vous protéger peuvent faire ce que bon leur semble, cela ne vous concerne pas ? Alors que vous êtes chez vous ici? "

HIrozaku se leva alors .

"Si cela ne vous concerne pas, je pense que je vais directement converser avec vos chanteuses de futon ..."

HIrozaku se dirigea alors vers le shoji .

- Non, mais... vous comprenez, moi je les protège, c'est tout. Avant, elles travaillaient dans la rue, et maintenant elles sont au chaud, les clients ne peuvent pas être violents, enfin, c'est mieux quoi.

Kamodo rugit :
- Vous commencez a me courir heimin orgueilleux ! Vous allez parler oui ???

Et, sortant son tetsubo, il fracassa le bureau. Et l'écrit pire. Et le mur de pierre.

... Enfin, le mur de bois, plutôt. Entre le nous et la pierre se dégageait une niche de quatre mains de large.

Hirozaku sourit à la découverte de son confrère ...

" Il semblerait que votre humble demeure soit pleine de surprise Momoru-san ... Si vous permettez "

HIrozaku se dirigea alors en direction du mur

Le trou menait a un passage.
Le passage menait a un escalier.
L'escalier menait a une galerie souterraine.
La galerie menait a une salle.

La salle contenait un chevalet de torture, et des portes.

"Bien étrange lieu pour un établissement aussi respectable que le votre , Momoru-san . Peut être pourriez vous m'expliquer à quoi tout cela pourrait bien servir ?"

Il était clair que Hirozaku avait déjà la réponse, mais il aimait tellement les réponse du tenancier qu'il voulait en avoir le coeur net.

- Je... je... j'ignorais tout cela. Je ne suis pas impliqué. Il y a eu quelques sorties discrètes, mais je n'étais pas sensé être au courant.

Même remarque que l'autre vieux sujet

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